Istres est en pleine dérive, n’en déplaise aux gouvernants successifs qui pendant trente années ont transformé cette ville en petite flamme vacillante en utilisant la politique du gâchis.
Pour mener grand train et s’offrir la vie inimitable des privilèges de ce monde, pas un instant ces responsables politiques n’ont hésité à brader la ville sous couvert des mots prodigues
« social, citoyenneté civisme »
Cette trilogie fut servie à toutes les sauces, accompagnée par une étouffante communication municipale. Ainsi ces nobles mots ont sombré dans des artifices tellement dévoyés qu’ils ont perdu leur sens originel, car à la longue, la sensibilité s’émousse, la bonne volonté tourne au mauvais esprit et la crédulité s’épuise.
- Quel exemple du social que d’augmenter les impôts locaux, héritage des gestions d’hier où quelques privilégiés ont largement profité du système au détriment de l’ensemble des Istréennes et des Istréens et en particulier des plus nécessiteux.
Ceux qui ont cru aux promesses peuvent constater avec amertume que le montant de leur compte en banque est resté figé contrairement à d’autres qui mènent toujours grand train de vie !
- Quel exemple de citoyenneté pour un maire sommé par un tribunal de la République de rétablir une liberté fondamentale qu’elle avait violé et qui conteste sa condamnation devant la plus haute juridiction administrative de notre pays !
La décision est désormais historique : Le conseil d’état a confirmé la violation de cette liberté par le Maire et a rejeté la requête en annulation.
- Quel exemple de civisme que ce duo de maires qui conduit maladroitement les affaires de la commune en dehors de tout cadre légal au nez et à la barbe de Mr le Sous-préfet, qui prend en otage la structure du conseil des sages ainsi placée sous haute surveillance et qui dissimule que la ville traverse une grave crise en cachant que le pire est à venir !
En trente ans la politique a profondément évolué, en cinq ans les mutations et l’évolution de la société ont amplifié le phénomène, il ne suffit plus de promettre, il faut agir mais la bonne question est de savoir qui peut être partisan d’un retour au passé ?
Depuis longtemps toute la poussière a disparu de l’aile du papillon, même si cette aile, vide de couleurs et fade d’avenir continue de promettre, encore promettre et toujours promettre.
Promettre et dire son contraire en tentant de manipuler les esprits, tel est le piètre travail de déstabilisation qui ne séduira plus les Istréens.
Le vol du papillon s’alourdit et les plus fidèles des fidèles
commencent à s’interroger !
Dès lors il restera aux électeurs après une saine réflexion, à déterminer où se nichent réellement les valeurs sociales, de citoyenneté et de civisme.
Pour l’équipe d’ISTRES avec VOUS ces valeurs ont un sens et elles seront défendues par :
LE CHANGEMENT, dans la SERENITE.